L’homme vêtu en djinn bleu, marcha avec vitesse vers la porte du poste, ses chaussures produisent un son De bruit fort, l’homme fait un demi tour, la tête baissé, il murmura et chuchota comme il parle avec soi.
De sa poche, il sorte une enveloppe jaune, il la regarda, la tourna dans sa grande main, la mettait dans sa poche puis prend sa marche, les bras croisés derrière le dos en chantant.
Rapidement s’arrêta, il ne cesse pas de fouir ses poches, l’homme sorte un mouchoir au coin de la rue, toussa fortement et enlève son bonnet pour sécher la sueur sur son front.
L’homme fatigué fixa ses yeux sur un kiosque, il regarda longtemps les journaux à la hâte il sorte des pièces d’argent et vérifia comme s’il n’avait pas d’argent.
Le monsieur vêtu de djinn prend un journal dans sa main, il le lit attentivement, puis le met à sa place en souriant et prend sa marche prés d’un long mur de grand hauteur, le dos également écarté, la tête en avant il frappa le mur avec sa grande main, plusieurs fois en chantant.
Soudain s’arrêta devant un petit jardin, s’assoie sur une chaise, les jambes écartées les mains croisées, les yeux abaissés sous le bleu bonnet. Lorsqu’il grattait la chevée de son pied qui est caché dans ses géantes chaussures noires, ses lunettes tombaient sur le sol, l’homme les a ramassés vite, et vérifia plusieurs fois s’ils étaient cassés, mais cette fois vérifia avec tendresse, il les mettaient attentivement comme s’il a trouvé ses yeux perdus.
Prés de la chaise une fleur rouge lui apparaît, l’homme lançait sa main sur cette fleur qui lui a piquer, il rangea sa main vite et met son pouce dans la bouche et le suce plusieurs fois .soudain met la fleur dans sa poche de sa chemise .L’homme s’assoie sur la chaise et prend sa place, une autre fois les jambes écartées, les bras croisés mais cette fois avec un sourire innocent.
Dialogue avec mon jardinier(découvrez le) :
Un film de jean beker, avec Daniel Auteuil, Jean-Pierre da roussin et elodie Navarre.
France.
Genre : comédie dramatique.
Durée ; 1h 45.
Sortie en France, le 06 juin 2007.
Discussion sur la vie
Ayant acquis une honnête réputation de peintre parisien, un quinquagénaire fait retour aux sources et revient dans le centre de
Aussi fait-il appel à candidature, par voie d’annonce locale. Le premier candidat (qui sera le bon) est un ancien complice de la communale, perdu de vue et ainsi miraculeusement retrouvé. Il sera le JARDINIER.
Le côtoyant au long des jours le PEINTRE découvre par touches impressionnistes un homme qui d’abord l’intrigue puis l’émerveille par la franchise et la simplicité de son regard sur le monde. Sa vie est jalonnée de repères simples. Bonheur sans éclat. Aucune aigreur, nulle jalousie chez le jardinier. Et ses héros sont toujours des gens modestes.
Son système de valeurs passe par un unique critère qui, consciemment ou non, lui tient lieu d’étalon pour juger des choses et des gens : le bon sens. L’art lui-même que pratique son ami ne trouve grâce à ses yeux qu’après des heures d’observation discrète...
Ainsi ils poursuivent une sorte d’adolescence tardive et fraternelle, qui mêle tout ensemble leurs familles, leurs savoirs, les carottes, les citrouilles, la vie, la mort, le voyage en avion, les groseilliers, les goûts et les couleurs. Et de tout revoir avec les yeux de l’autre, chacun renouvelle le spectacle du monde.
Sans tapage, ils nous invitent dans leur découverte du quotidien à «partager», autre sésame du jardinier qui fait pousser pour offrir, comme le peintre peint pour montrer. Henri Cueco, peintre lui-même et chroniqueur
radio sensible à la vie des humbles nous offre là une histoire d’amitié attachante et simple comme une histoire d’Amour.
Si vous n’avez pas de chaussures n’hésiter pas a découvrir les plus belles chaussures des derniers modèles de la mode. C’est a vous le découvrir.
La plus belle fille du monde Cette petite fille palestinienne « IMANE » qui est morte dans les bras de
Sa mère, cette photo est pri ,après que la balle de plomb a pénétré sonCorps. Elles ont été attaquées par les soldats israéliens, qu’a fait cette innocente pour que son destin soit malheureux?!!!
Alberto Giacometti (1901-1966) : tête d’homme.1 (Diego) ,1964-huile de toile.
Alberto Giacometti - stiftung, don de l’artiste,proleteris.
Dans ce tableau le jeune Giacometti se manifeste vraiment .ou il fait un échange conceptuel très important, entre la sculpture et la peinture.
J’ai choisi ce tableau car je l’aime, et je veux que vous me partager ce sentiment c’est à vous de l’interpréter.
C’est le comble ! Quel est le comble pour la femme d’un horloger ?
Prendre tout son temps pour faire ses travaux d’aiguilles. Quel est le comble pour un jardinier ?
Tout planter là parce qu’il a des soucis. Quel est le comble pour un magicien ? L’lorsqu’il fait ses courses, oublie sa baguette chez le boulanger. Quel est le comble pour un frileux ? S’enrhumer quand il passe devant son armoire à glace.
Légende almoravide dans quelques lignes :
Il y a neuf siècle, sur site de Marrakech, s’étendait une vaste plaine de fine terre ocre .un homme de désert, un saharien venu du fond de
La légende raconte que ses cavaliers se nourrissaient de dattes cueillies durant la traverse des oasis de la vallée du DARAA.
Les noyaux qu’ils jetaient et qui allaient rouler dans les creux laissés par les sabots de leurs chevaux et les pointes de leurs lances, donnèrent naissances à une palmeraie.
Ainsi fut créer Marrakech, oasis aux portes du désert. Les siècles ont passé aujourd’hui, au bord de l’oued tansift, un cite qui recrée la légende et renoue les plus nobles traditions d’une ville ou plutôt un site almoravide, c’est le palais « oasis ».
rions un peu
sourire:
un fou dit à un autre fou.
dialogue entre deux foux :